Et toute contre moi,nEt toute contre nature,nMa jolie cathédrale aux milles portes.nM'offrant le luxe de ses luxures,nAu pays de ses mille et une sortes.nSi tu me laissais compter le nombre d'étoiles,nQui pendent au ciel de ta couche.nJe les rêverais folles, filantes et fatales,nEt croquerais dans ta langue ubiquiste, à pleine bouche.nJe ne t'aime pas,nJe te beaucoup plus que çanJe ne te veux pas,nMais beaucoup beaucoup plus que ça.nEt croque-langue à Croque-land s'excuse,nDe guerroyer si fort ma libido.nMais libidonne à nouveaunEn odulant mon Ouapti the kid,nQui tout de go raidit ses cornemuses.nSi tu me laissais toucher tes igloos jumeaux,nEt leur banquise brûlante.nJe pendrais mes jambes à ton cou, tel l'eskimo,nQui s'est trop imbibé d'absinthe. Et l'homme ému chante :nJe ne t'aime pas,nJe te beaucoup plus que çanJe ne te veux pas,nMais beaucoup beaucoup plus que ça.nCroque-langue, croque mon allure,nEt détraquée elle craque et me croque la languenpure et impure.nJe ne t'aime pas,nJe te beaucoup plus que çanJe ne te veux pas,nMais beaucoup beaucoup plus que ça.