Tu cachais ta peurnTu pouvaisnLa fille en noirnVenait frappernJuste l'impression des rétinesnEt tout de tes nudités ses yeux savaientnSes yeux savaientnnEt tout l'or de ses prunelles était peuplé de rois nPassiflore que l'on aime mais que l'on ne touche pasnÀ l'aurore de tous les dangers on le saitnOn n'est déjà plus soinMatador des instants magnifiques qui ne reviennent pasnTu donnes le ton mais le temps te damnenTa vie s'écoulait dans les yeux de la gitanenTa vie s'écoulait dans les yeux de la gitanennEt tout l'or de ses prunelles était peuplé de rois nPassiflore que l'on aime mais que l'on ne touche pasnÀ l'aurore de tous les dangers on le saitnOn n'est déjà plus soinMatador des instants magnifiques qui ne reviennent pasnTu donnes le ton mais le temps te damnenTa vie s'écoulait dans les yeux de la gitanenTa vie s'écoulait dans les yeux de la gitanennPassiflore que l'on aime mais que l'on ne touche pasnÀ l'aurore de tous les dangers on le saitnOn n'est déjà plus soinMatador des instants magnifiques qui ne reviennent pasnTu donnes le ton mais le temps te damnenTa vie s'écoulait dans les yeux de la gitanenTa vie s'écoulait dans les yeux nMatador des instants magnifiques qui ne reviennent pasnÀ l'aurore de tous les dangers on le saitnOn n'est déjà plus soinMatador des instants magnifiques qui ne reviennent pasnTu donnes le ton mais le temps te damnenTa vie s'écoulait dans les yeux de la gitanenTa vie s'écoulait dans les yeux de la gitanenMatador des instants magnifiques qui ne reviennent pasnTu donnes le ton mais le temps te damnenTa vie s'écoulait dans les yeux de la gitane